La production quitte Paris. Après avoir produit plus de 20 millions de paires de tennis entre 1936 et 1984, l’Usine est vidée de ses machines.
Théodore Grimmeisen, fils de Georges, et son épouse Sylvie choisissent de sauvegarder le lieu qui est alors une friche industrielle. Ils y maintiennent le siège de la marque et entreprennent une rénovation ambitieuse tout en préservant l’âme industrielle du lieu.
Dans les années 90, L’Usine Spring Court ouvre un nouveau chapitre. Inspiré par l’agence Magnum qui s'y installe pendant 10 ans, le lieu accueille des sociétés dans une synergie d’activités autour de la photographie et des médias.